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L'Atlantis
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Le complexe d'Oedipe, Episode 12 :
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Le complexe d'Oedipe
Après avoir trahi bien involontairement ses compagnons, Ramis subit une mauvaise passe. En effet, sous l'emprise de la manipulation mentale des sylvidres, il a révélé certains des secrets de l'Atlantis. Désirant se racheter, il passe tout son temps dans la salle du simulateur, revivant inlassablement son combat contre Erossa, la sylvidre qui lui a fait perdre la tête en prenant l'apparence de sa mère. Malheureusement, à chaque simulation, il a un temps d'arrêt qui cause sa perte.
Dans le même temps, l’ordinateur de l’Atlantis perçoit des ondes de distorsion du temps semblant provenir de Vénus. En survolant la planète, l'équipage observe une jungle en flammes… élément troublant puisque l'atmosphère de la planète de contient pas d'oxygène. En y regardant de plus près, il s'agit de sylvidres. Leur présence ajoutée à cette étrange distorsion laisse penser qu'il existe une base sylvidre sur la planète. L'équipage de l'Atlantis se met donc en quête. Durant des heures, ils survolent Vénus sans rien trouver. Alors qu'ils reviennent au-dessus du continent fossile, ils observent d'étranges symboles ressemblant à certains dessins, mayas selon le docteur Zéro. Il pourrait s'agir d'un chemin fléchant la direction de cette base. La distorsion du temps augmente tout au long de ce chemin jusqu'à atteindre un point culminant au niveau d’un cratère.
Sans plus attendre, Atlantis plonge dans le cratère, croisant lors de la descente les corps de nombreuses sylvidres fossilisées. Une fois le vaisseau posé, 6 membres de l'équipage descendent explorer la base des humanoïdes. Parmi eux Albator, Nausicaa, Ramis et Alfred (on se demande bien qui garde la boutique pendant ce temps-là…). Au cours de leurs recherches ils ne trouvent personne, mais récupèrent néanmoins des objets anciens. Une analyse leur permet de savoir que ces vestiges seraient vieux de 180 millions d'années.
Cette découverte les laisse stupéfaits. Soudain Albator a un étrange pressentiment, l'intuition d'un danger imminent. Effectivement, à peine ont-ils commencé à quitter le cratère qu'un tremblement de terre (enfin… un tremblement de Vénus, de mon point de vue… mais ce que j'en dis…) se déclenche. Des entrailles de la planète surgit alors un vaisseau des sylvidres.
Bien entendu, elles attaquent aussitôt l'Atlantis et, s'appuyant sur les révélations de Ramis, elles atteignent très vite le point faible du navire (8,5° de chaque côté de la poupe, au cas où vous croisiez un Atlantis menaçant entre le périph et l'Arc de Triomphe). Rongé par la culpabilité, Ramis veut tenter une sortie. Le capitaine l'arrête d'un énergique "je t'ordonne de rester là". Il lui explique qu'il n'arrivera à rien s'il ne se débarrasse pas de ces pensées revanchardes et belliqueuses. Il doit garder l'esprit clair. Peu après, alors que les Sylvidres envoient Erossa à l'attaque, Ramis obtient enfin l'autorisation d'en découdre avec elle.
Le combat s'engage alors. Trop confiantes et trompées par la fumée se dégageant de l'Atlantis (en fait un subterfuge inventé par Toshiro pour tromper l'ennemi) les sylvidres sont abordées par l'Atlantis, le trancheur de proue du vaisseau réduisant en miettes l'appareil adverse. Ne reste plus alors qu'Erossa face à Ramis. Une fois de plus, elle tente d'utiliser l'illusion pour corrompre l'esprit du jeune homme, utilisant l'image de sa mère qui l'appelle à son secours.
A bord de l'Atlantis, en dehors d'Albator qui reste silencieux, tous paraissent inquiet pour Ramis. Le capitaine refuse que l'Atlantis se porte au secours au jeune homme : il faut qu'il surmonte seul ses démons.
Alors qu'il est sur le point de céder à l'appel de cette image quadridimensionnelle, Ramis repense aux dernières paroles d'Albator et reprend pieds avec la réalité : il abat Erossa… L'Atlantis vient de gagner un nouvel homme d'équipage…
Conclusions et pensées philosophiques du jour :
- Comme souvent quelques albatoresqueries : en premier lieu l'encéphalométreur, permettant de mesurer les réflexes… à votre prochaine visite médicale pensez à signaler à votre médecin qu'avec son marteau ridicule, il est complètement has-been… Idem, le palpeur à ultraviolets… ça fait tout de suite sérieux !
- Une dernière chose, on note que, sans avoir la répartie de son illustre homonyme, Alfred a tout de même quelques répliques sympathiques. Celle d'aujourd'hui… concernant l'apparition
Merci à Soph pour ce résumé ! Et on lui souhaite beaucoup de courage au Burkina Faso !
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