Albator Contre Sylvidra : le duel à mort (Ultime Combat : Albator Contre Sylvidra)

--- Après un très long périple, nos amis se retrouvent enfin devant le gigantesque vaisseau amiral de la reine Sylividra. L'équipage de l'Altantlis reste stupéfait devant ce mastodonte qui selon l'estimation du docteur Zéro fait au moins cent fois l'Atlantis. Ramis, assoiffé de vengeance, s'installe aux commandes de tir, attend un ordre d'Albator... Le capitaine semble plongé dans ses pensées, Ramis tire une première salve : rien. Il raligne la mire et en tire une seconde : toujours rien. Le vaisseau amiral y reste insensible grâce à des capteurs qui absorbent l'énergie des tirs de l'Atlantis.

Soudain, le gigantesque vaisseau avance droit sur l'Atlantis, rabattant ce dernier sur le peu de bâtiments restants de la flotte sylvidre. L'Atlantis essuie alors des attaques suicident de petits chasseurs par dizaines, ses neutro-cannons se chargeant des plus gros vaisseaux. Enfin, le dernier ennemi tire sa révérence. Le grand vaisseau de la reine ressurgit alors, un énorme canon pointé sur l'Atlantis. Deux coups suffisent à immobiliser le vaisseau pirate, qui n'a même plus assez de puissance pour battre en rettraite. Puis le cannon se tait et le vaisseau se met à avancer vers l'Atlantis, les sylvidres préférant sans doute en terminer avec Albator très lentement, comme pour savourer cet instant.

                      

Il est donc décidé de prendre la forteresse sylvidre à l'abordage en sept points différents. Quelques aviscoops pénètrent donc à l'intérieur du grand vaisseau royal, seul Alfred reste à la barre de l'Atlantis. Le vaisseau paraît immense même de l'intérieur. La première escouade formée de Ramis et Nausicâa, pose pied à terre pour tombe nez à nez face à la reine et un peloton d'éxécution. Désarmés par les tirs de leurs ennemis, ils sont mis en joug et au moment propice des aviscoops de renfort nettoient le peloton pour ne laisser que la reine assise sur son trône. Ramis s'empresse de lancer une dague sur ce qui n'était en fait qu'une sylvidre qui servait de leurre, cette dernière disapraît dans des rires et des flammes.

La pièce se libère ensuite de toute gravité, piègeant l'équipage sans son capitaine dans une lévitation forcée... Une plaine. Le vent souffle. Sa cape rouge et noire ondule. Il se tient face à une colline comportant les mêmes signes que la sphère qui s'était abattu sur terre. Un bruit. Des oiseaux noirs fuient. Elle lui tourne le dos et lui conte son histoire en empilant des cailloux : Cela fait cinq ans qu'elle voyage avec son peuple à la recherche d'une panète qui pourrait les accueillir, il trouvèrent la terre mais "Un petit pirate" s'est mis en travers de son chemin, détruisant tout leur espoirs...

A la fin du récit de Sylvidra, Albator dégaîne et tire mais pour ne détruire qu'une illusion, un amas de pierres. Elle est au sommet de la colline et le nargue de son rire. Il s'apprête à bondir lorsqu'une multitude de mains lui saisissent les jambes, essayant de le noyer dans la terre, dans un râle Albator apelle l'âme de son ami, l'Atlantis à son secours. Ce dernier surgit tranchoir sorti et déchiquette le tissus de sylvidres. Albator se relève. Sylvidra apparaît derrière lui et le défie au combat.

La Terre reviendra au vainqueur du face à face.

                      

S'engage alors un duel ou Sylvidra démontre toute son agileté et sa puissance. Et ayant pour seul témoin l'Atlantis, Albator repousse tout les assauts de la reine et lui assène un coup qui désintègre sa tenue de combat, la mettant à nue. Albator tient enfin la reine à sa mercie, cette dernière plante la lame de son épée au sol, signe de rédition. Sylvidra se met à saigner, Albator rengaine son arme et ordonne à Sylvidra de reprendre son peuple et de s'en aller. Alors que l'équipage clame sa victoire, les vaisseaux sylvidres s'éloignent de l'orbite terrestre et quittent le système solaire. Albator se remémorre alors les mots de Sylvidra : "J'accepte de partir"...

Merci à Badr.