Elle a été recueillie par l'équipage lors d'un des nombreux combats spatiaux qu'a livré l'Atlantis. Elle et le docteur furent les deux seuls survivants d'un vaisseau attaqué par les humanoïdes.

Elle voue une grande passion à son père : le devrait-elle ? Oui elle le peut, car même si son père est capitaine chez les humanoïdes, c'est un combattant loyal et honnête respectants les règles des combats intersidéraux. Mieux encore, dans un dernier combat il retournera sa veste et combattra aux cotés d'Albator contre l'Ombre de la mort. Il sacrifiera sa vie pour sauver celle de sa fille et par la même occasion celles des passagers de l'Atlantis. Homme, sache que tu meurs dans l'honneur : nous nous rappellerons de toi comme un combattant fantastique et bon, et nous évoquerons ton nom avec respect et humilité.

Revenons à nos moutons (si je peux qualifier Lydia ainsi), Lydia, naïve et charmante enfant ne sait rien de cette histoire. Elle se souvient seulement d'un père bon et aimant et non d'un combattant humanoïde. Albator ne lui dira rien quant à la mort de son père et tout l'équipage est tenu de garder ce secret. Pourtant à chaque Noël, la petite fille attend, sa chaussette accrochée, que son doux papa vienne lui glisser un cadeau.

Par sa naïveté et son insouciance elle faillit causer de gros ennuis à l'équipage en accueillant un petit chat (private joke : Sweetie 'le chat de Manu, un pote' si on te chope on te fait la peau et on te bouffe au barbecue !). Ce chat avait dans sa tête un micro émetteur ennemi ! Pour la petite histoire le docteur opéra le minou et celui ci pût ainsi rester au sein de l'Atlantis.

Conclusion :

Lydia, petite frimousse adorable nous rappelle Candy par son visage. Elle est la présence enfantine de l'équipage avec les qualités et défauts qui en découlent. M'enfin, nous on l'aime comme ça, petite file innocente et rêveuse dans un monde cruel et assassin. Dieux fasse que tu trouves paix et bonheur sur la planète idéale : la Terre.